LPF Casablanca

Rien n’est impossible pour notre jeunesse dès lors qu’elle comprend son rôle et son destin. Et  » Rien n’est trop difficile pour la jeunesse  » comme disait le philosophe Socrate. Il suffit juste de lui préparer un environnement propice pour s’épanouir et s’impliquer dans la réussite.
LPF Casablanca du groupe  » Le Piston Français  » produit des pièces mécaniques de haute technicité pour l’aéronautique. La première usine au Maroc dédiée à l’usinage de pièces circulaires en métaux durs pour les moteurs d’avions (Rolls Royce). Elle intègre l’écosystème moteurs d’avions mis en place dans le cadre du plan d’accélération industrielle. Gérée par Ssi Adel Bidaoui, une compétence marocaine et un connaisseur de ce secteur. Sa doctrine de faire confiance aux jeunes les encadrer  et de leurs donner l’occasion de se montrer. Je te félicite cher ami, ce n’est pas facile, ce processus d’empowerment demande patience, persévérance et proximité. « Construit l’équipe et laisse cette équipe faire le travail » disait Olivier Divillard. Tu es considéré un ambassadeur avec d’autres de cet écosystème de l’aéronautique, pour la simple  raison tu as contribué à sa réussite au niveau de ton périmètre. Je remercie vivement ton équipe de m’avoir accepter en douceur pour jouer mon rôle depuis mes premiers jours pour réaliser l’étude d’état des lieux et mandater les chantiers progrès. Des jeunes techniciens (nes) et ingénieurs ( es) mains dans la main pour réussir ensemble le lancement de ce beau site équipé par la haute technologie et une digitalisation avancée. Merci à Nezha, Lina, Sara, Selma, Brahim, Anass, Bassam, Omar, Mohamed, Khalid, Abderrahim, Said de votre engagement pour réussir ensemble ces premières piqûres sur les softs skills et comment construire et booster votre Leadership. Le chemin est long, nos chantiers progrès vont démarrer bientôt abordant différents aspects : maîtrise de la variation, référentiel de gestion de progrès, digitalisation, référentiel des compétences, GPEC,…
 » Ce dont la jeunesse a besoin, c’est qu’on lui dise qu’il y’a un bateau en construction dans sa propre cale sèche mentale, et que ce bateau est destiné à prendre la mer disait Aldo Leopold écologiste américain ».